• Et Manu Chao a enflammé les Cubains

    Présent à Cuba pour deux concerts dans le cadre du 42ème anniversaire de la mort de Che Guevara, Manu Chao et son Radio Bemba Sound System a fait vibré 20.000 spectateurs à La Havane vendredi nuit.
    Trois semaines après le concert "Paix Sans Frontières" du musicien espagnol Juanes à la Havane, la formation musicale de Manu Chao était invitée à son tour pour commémorer le 42ème anniversaire de la mort du guerillero Ernesto Che Guevara.
    L'ancien leader de la Mano Negra est le premier artiste étranger à se produire à Cuba, après ce concert polémique du 20 septembre qui avait réuni près d'un million de personnes sur la Place de la Révolution à La Havane.
    Dans la nuit de vendredi à samedi, ce sont près de 20.000 personnes qui ont vibré lorsque Manu Chao a ouvert son spectacle en déclarant : ""Buenas noches, Cuba. Es un honor estar contigo esta noche" ("Bon soir, Cuba, c'est un honneur d'être avec vous ce soir").
    "Clandestino", "Desaparecido" ou "Alas rotas" : les plus grands tubes de l'artiste furent systématiquement dirigés contre "tous les ennemis du peuple cubain".
    Dans la presse nationale, Manu Chao s'est exprimé à de nombreuses reprises pour exprimer combien le Che représentait "un personnage emblématique de la gauche mondiale", traversant génération après génération.
    Manu Chao offrira un nouveau concert lundi soir à Santa Clara, où repose la dépouille du guerillero cubain.

    Voici la présentation du concert dont les têtes d’affiche étaient: Manu Chao et Kelvis Ochoa:

    Partie 1

     

    Partie 2

     

    Source originale


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  • Pau - (Béarn) Le mercredi 23 septembre 2009 

    Un sexagénaire s'est masturbé sur une jeune fille. Il a été placé en garde à vue.

    Lundi soir, un peu avant 23 heures, au Zénith de Pau, alors que Manu Chao se produisait en concert, un homme âgé de 65 ans s’est masturbé jusqu’à l’éjaculation sur une étudiante toulousaine âgée de 18 ans.

    Le retraité a été interpelé par le service d’ordre de la salle de spectacle avant d’être confié à la police.

    Le retraité a confié aux policiers avoir « été pris d’une envie » après avoir été enivré par la chaleur humaine du concert de Manu Chao.

    Le sexagénaire a été placé en garde à vue au commissariat de Pau, pour « agression sexuelle ».

    Au cours de sa garde à vue, l’homme a confié que c’était la première fois qu’il assistait à un concert, révèle Sud Ouest.

    Hier après-midi, le retraité est sorti libre du commissariat.

    Le parquet a ordonné qu’il soit soumis à une expertise judiciaire avant de se prononcer sur les suites judiciaires à donner à cette agression sexuelle.

    (Source: Sud Ouest)


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  • Manu Chao "La Vida Tombola"
    Découvrez le nouveau clip événement de Manu Chao "La Vida Tombola" avec en special guest: Maradona! Ce titre de Manu Chao est en effet dédié à la légende du foot Diego Maradona, c'est donc avec honneur que l'actuel sélectionneur de l'équipe d'Argentine s'est prêté au jeu de l'acteur.
     

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    Pour ceux qui se demanderaient ce que pensent les véritables intéressés du piratage, à savoir les artistes, voici un avis parmi tant d'autres, celui de Manu Chao.

    "Les grosses maisons de disques sont en train de mourir, il n'y a plus de place pour elles. C'est comme la fin des dinosaures: il y a un changement de climat"

    On peut dire qu'il a une opinion plutôt radicale. Il considère de plus que le téléchargement "est inévitable, c'est la marche du temps. C'est obligé, c'est la loi du marché. C'est le capitalisme qui a inventé ça : on choisit le moins cher! Ils sont en train de mourir de leur propre loi".

    Concernant les procès lancés à tout va contre les internautes qui piratent de la musique, ils pensent que ces actions légales représentent "la preuve la plus totale qu'ils sont perdus : c'est débile, ridicule, c'est une réaction de bête blessée".

    Il militerait par contre pour l'aide aux labels indépendants : "Les grosses boîtes morflent mais les petites aussi. C'est là qu'il faudrait une éthique du public : que les jeunes piratent les gros comme moi, mais qu'ils fassent l'effort d'acheter chez les petits labels"

    Pour lui, il y a un évident transfert de marché : Mais ce n'est pas perdu pour tout le monde. La grosse industrie qui vend les petites machines à pirater, genre iPod, se fait des 'couilles en or'. C'est un pan de l'industrie qui se casse la gueule pour un autre qui se frotte les mains.
    La seule chose qui n'est pas piratable, c'est la scène. Il va y avoir une sélection naturelle terrible: ce sera plus facile de vivre pour les musiciens qui savent se défendre sur scène que pour ceux qui ne dépendent que du disque ».

    Pour rappel, un morceau vendu sur iTunes 99c rapporte 8c à l'artiste, 4 à Apple, et 70 à la maison de disque.

    Article original


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